Paix et cohésion sociale : La CODEL organise une causerie éducative dans la commune de Kaya

Dans le but de contribuer à la prévention et à la mitigation des violences dans la commune de Kaya. Du 29 juillet au 1er Aout 2024 une équipe de la CODEL conduite par Mme Clarisse Bila NADEMBEGA/ZOUNGRANA secrétaire chargée des finances et de la comptabilité de la CODEL a séjourné dans la province du Sanmatenga. Des audiences avec les autorités et une causerie éducative avec des acteurs clés étaient au menu de la mission.
Ils ont dit :
«si la pluie vous bat, ne vous battez pas encore entre vous…». C’est à travers cet adage que le Kassir-Naaba Teegre, ministre du canton de KAYA a apprécié l’initiative de la CODEL qui selon lui fait partie des actions qui contribuent à instaurer un climat favorable pour le vivre ensemble.
Quant à M. Idrissa GANSORE, haut-commissaire de la province du Sanmatenga « il est plus facile d’éviter un conflit que de le régler… nous saluons donc votre initiative et vous souhaitons fructueux échanges ».
« C’est avec grand plaisir que je participe à cette causerie initiée par la CODEL. C’est une opportunité pour que la province du Sanmatenga soit une référence en matière de cohésion sociale et ensemble avec les autres participants, nous proposerons des pistes de solutionnement pour un retour aux valeurs ancestrales qui définissent l’Homme intègre » a déclaré Léocadie Marie Windlasida Sawadogo, membre du conseil provincial des OSC du Sanmatenga.
« Dès que je suis venu à la mairie, j’ai compris que les objectifs des organisations comme la CODEL vont de pair avec ceux des autorités coutumières, religieuses et administratives : La bonne gouvernance », tels sont les premiers mots de M. SIMPORE, 1er vice-président de la délégation spéciale.
Woumnoo-Bil Naaba du chef du canton du Sanmatenga, participant à la causerie : « La CODEL est une structure de référence au Burkina qui œuvre dans le cadre de la bonne gouvernance et de la cohésion sociale…cette rencontre de causerie est la bienvenue à Kaya. Elle permettra aux acteurs communautaires de comprendre la citoyenneté et le Burkindi (le patriotisme). La chefferie continuera à jouer son rôle comme d’habitude pour la paix. »
          

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